Bio
The Rockin’ James Trio, groupe de Rockabilly lyonnais, brûle les planches de la Capitale des Gaules depuis début 2007. Son mélange subtil de Rockabilly, de Rock and Roll, de Country Jazz et de Blues a conquis plus d’une oreille difficile, et convaincu les danseurs que rien n’est plus excitant qu’un tempo et un swing « bien assis », même sur les titres les plus sauvages.
Le début de l’histoire : en mars 2006, James BADDAMS, chanteur et leader du groupe de Rock’n’Roll « James & The Old Boys », rencontre Jean-Marc TOMI, guitariste des « Rockin’ Rebels » (premier groupe de rockabilly français, formé en 1977, en pleine vague punk).
Les deux wild cats décident de mettre le feu à la baraque ! Ils enchaînent les répétitions à deux dans le salon de James et les soirées platine : les classiques d’Elvis chez Sun, Johnny Burnette sur Coral, une bonne pincée de rhythm and blues (Johnny Otis, Arthur Big Boy Crudup, Little Junior Parker…), et les enregistrements de Gene Vincent avec ses Blue Caps et leur magicien Cliff Gallup à la guitare.
En juillet 2006, ils rencontrent Dominique Garcia, batteur de «Stompin’ Shoes» et de «Wacky Hawks». Do'M partage leur flamme pour le Rockabilly et leur vision des choses : le Rockabilly est une musique au carrefour du blues, de la country et du jazz, flirtant aussi bien avec Merle Travis qu’avec Lightnin’ Hopkins, T-Bone Walker, Chuck Berry, Bill Monroe ou les bayous de Louisiane.
En somme, un chaudron de sorcière, une musique en équilibre instable, comme si l’alchimiste se préparait à faire sauter le labo.
Il ne manquait plus qu’un adepte de la bande à Bonnot pour craquer l’allumette et porter le liquide à ébullition : Francky Fridge, alias « Boris Karl’Off », l’homme qui rit et qui pleure en respectant les 12 mesures, le chat sauvage aux mille masques, bassiste et contrebassiste de son état, rejoint les Rockin’ James Trio en juin 2009. Aussi à l’aise pour jouer les riffs de Dr Feelgood que dans le western swing de Bob Wills, il succède ainsi à la divine Laetitia Pansanel, partie s’occuper de musiques de films et de concerts en Colombie.
Le groupe se nomme « The Rockin’ James Trio », en hommage au « Rock and Roll Trio » de Johnny Burnette. Un trio à 4, comme les mousquetaires de Rockin’ Alex Dumas… ! « Four to rock, and roll for all » est leur devise !
Et voilà toute l’histoire du trio de Rockin' James : une alliance entre une section rythmique explosive générée par Boris & Do’M et la magie sulfureuse des mélodiques Jim & James ! En un mot : du plaisir à l'état brut et le plein de musique, avec embrasement des pistes de danse et des étoiles dans les yeux des filles.
Le début de l’histoire : en mars 2006, James BADDAMS, chanteur et leader du groupe de Rock’n’Roll « James & The Old Boys », rencontre Jean-Marc TOMI, guitariste des « Rockin’ Rebels » (premier groupe de rockabilly français, formé en 1977, en pleine vague punk).
Les deux wild cats décident de mettre le feu à la baraque ! Ils enchaînent les répétitions à deux dans le salon de James et les soirées platine : les classiques d’Elvis chez Sun, Johnny Burnette sur Coral, une bonne pincée de rhythm and blues (Johnny Otis, Arthur Big Boy Crudup, Little Junior Parker…), et les enregistrements de Gene Vincent avec ses Blue Caps et leur magicien Cliff Gallup à la guitare.
En juillet 2006, ils rencontrent Dominique Garcia, batteur de «Stompin’ Shoes» et de «Wacky Hawks». Do'M partage leur flamme pour le Rockabilly et leur vision des choses : le Rockabilly est une musique au carrefour du blues, de la country et du jazz, flirtant aussi bien avec Merle Travis qu’avec Lightnin’ Hopkins, T-Bone Walker, Chuck Berry, Bill Monroe ou les bayous de Louisiane.
En somme, un chaudron de sorcière, une musique en équilibre instable, comme si l’alchimiste se préparait à faire sauter le labo.
Il ne manquait plus qu’un adepte de la bande à Bonnot pour craquer l’allumette et porter le liquide à ébullition : Francky Fridge, alias « Boris Karl’Off », l’homme qui rit et qui pleure en respectant les 12 mesures, le chat sauvage aux mille masques, bassiste et contrebassiste de son état, rejoint les Rockin’ James Trio en juin 2009. Aussi à l’aise pour jouer les riffs de Dr Feelgood que dans le western swing de Bob Wills, il succède ainsi à la divine Laetitia Pansanel, partie s’occuper de musiques de films et de concerts en Colombie.
Le groupe se nomme « The Rockin’ James Trio », en hommage au « Rock and Roll Trio » de Johnny Burnette. Un trio à 4, comme les mousquetaires de Rockin’ Alex Dumas… ! « Four to rock, and roll for all » est leur devise !
Et voilà toute l’histoire du trio de Rockin' James : une alliance entre une section rythmique explosive générée par Boris & Do’M et la magie sulfureuse des mélodiques Jim & James ! En un mot : du plaisir à l'état brut et le plein de musique, avec embrasement des pistes de danse et des étoiles dans les yeux des filles.
Bluecap Jim
Fan depuis toujours de Blues, de Rhythm & Blues et de rockabilly. Crée en 1977 avec Tony Marlow, rencontré sur les bancs du lycée, à Bastia, le premier groupe de Rockabilly français, « Rockin’ Rebels». A l’époque, il passe ses nuits à recopier note pour note les solos de Cliff Gallup (Gene Vincent), Scotty Moore, James Burton (Elvis Presley) et Grady Martin (Johnny Carroll, Johnny Horton, etc.)
Découvre le « country jazz » grâce à Gilbert Rouit, grand spécialiste de la Country en France, qui lui enregistre notamment des albums d’Ernest Tubb avec les Texas Troubadours. Accompagne Vince Taylor lors d’une tournée dans le Sud-Est de la France en 1982. Joue avec les « Rockin’ Rebels » en première partie des Stray Cats lors de leur première tournée en France, en 1983. Jim apprécie les bouteilles portant l’indication « pure malt ».
Influences : Cliff Gallup, Scotty Moore, James Burton, Chet Atkins, George Barnes, Hank Garland, Jimmy Bryant, T-Bone Walker, B.B. King et Charlie Christian.
Fan depuis toujours de Blues, de Rhythm & Blues et de rockabilly. Crée en 1977 avec Tony Marlow, rencontré sur les bancs du lycée, à Bastia, le premier groupe de Rockabilly français, « Rockin’ Rebels». A l’époque, il passe ses nuits à recopier note pour note les solos de Cliff Gallup (Gene Vincent), Scotty Moore, James Burton (Elvis Presley) et Grady Martin (Johnny Carroll, Johnny Horton, etc.)
Découvre le « country jazz » grâce à Gilbert Rouit, grand spécialiste de la Country en France, qui lui enregistre notamment des albums d’Ernest Tubb avec les Texas Troubadours. Accompagne Vince Taylor lors d’une tournée dans le Sud-Est de la France en 1982. Joue avec les « Rockin’ Rebels » en première partie des Stray Cats lors de leur première tournée en France, en 1983. Jim apprécie les bouteilles portant l’indication « pure malt ».
Influences : Cliff Gallup, Scotty Moore, James Burton, Chet Atkins, George Barnes, Hank Garland, Jimmy Bryant, T-Bone Walker, B.B. King et Charlie Christian.
Fan depuis toujours de Blues, de Rhythm & Blues et de rockabilly. Crée en 1977 avec Tony Marlow, rencontré sur les bancs du lycée, à Bastia, le premier groupe de Rockabilly français, « Rockin’ Rebels». A l’époque, il passe ses nuits à recopier note pour note les solos de Cliff Gallup (Gene Vincent), Scotty Moore, James Burton (Elvis Presley) et Grady Martin (Johnny Carroll, Johnny Horton, etc.)
Découvre le « country jazz » grâce à Gilbert Rouit, grand spécialiste de la Country en France, qui lui enregistre notamment des albums d’Ernest Tubb avec les Texas Troubadours. Accompagne Vince Taylor lors d’une tournée dans le Sud-Est de la France en 1982. Joue avec les « Rockin’ Rebels » en première partie des Stray Cats lors de leur première tournée en France, en 1983. Jim apprécie les bouteilles portant l’indication « pure malt ».
Influences : Cliff Gallup, Scotty Moore, James Burton, Chet Atkins, George Barnes, Hank Garland, Jimmy Bryant, T-Bone Walker, B.B. King et Charlie Christian.